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De l’importance de la coloration dans le paradigme vestimentaire
Beau titre, han?

C’est Josiane et quelques autres copines qui ont lancé ça sur twitter hier. J’étais à me demander ce que je pouvais bien écrire, et ne sachant pas trop quoi faire, j’ai pensé me méditer sur «comment agencer sa nouvelle couleur de cheveux avec ses vêtements existants». Parce que, t’sais, d’un point de vue à la fois très girly et très obsessionnel-compulsif, c’est une question primordiale, pertinente à l’os, vitale.

Long story short, je suis une fille qui change de couleur de cheveux comme de bobettes. Je peux passer de ça:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

à ça:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

sans trop de préavis, excepté le chialage que je commets lorsque je suis écoeurée de ma couleur. Blond, brun, roux, délavés, les coupes et les longueurs changent tout le temps. Alors, on fait quoi avec ça? Je veux dire, certaines couleurs s’agencent mieux entres elles pis d’autres pas. Doit-on renouveler sa garde-robe à chaque fois?

Non, ça serait vraiment stupide et suivant une logique de consommation un peu intense. À ce sujet, j’ai quelques règles à partager avec vous, peut-être en avez-vous aussi!

Roux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La fameuse Jane

Pour moi, le roux, c’est vraiment wild. C’est un statement capillaire, c’est estival, vivant et intense. J’aime contrebalancer avec un style un peu plus simple, peut-être un peu plus rétro/mad men, mais définitivement plus épuré et peu accessoirisé. L’idée c’est de pas avoir l’air trop d’un clown, à moins d’être Jane Aldridge, une famous blogueuse de mode et une rich as fuck southern belle, et d’y aller intensément à tous les jours.

À éviter:

  • Le vert sur le haut de corps. Ça look Noël.
  • Le rose intense, l’orangé, tout ce qui ne met pas en valeur vos cheveux de feu.

 

Brun

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Brun, la couleur de l’amour du mystère. Pas que je veuille paraphraser Bernard Adamus (c’est comme une spécialité chez moi), sauf que, selon moi, le brun est très mystérieux. Avec une frange au carré, ça assure un genre de look de jeune sauvagesse inaccessible. Par contre, cette couleur est aussi celle de la banalité. Le brun, ça se fond dans la masse, c’est un peu comme tout le monde. Donc, on peut se permettre un style vestimentaire un peu plus éclaté dans les textures, les couleurs, les superpositions.

Je sais, je sais, ça sonne un peu superflu/magazine de feeeeemme tout ça. Toutefois, ça me semble empreint d’une logique toute naturelle et appropriée. Qu’en pensez-vous?

D’ici là, j’ai réglé le problème en ne portant que du noir/beige/kaki/gris. Méhéhéhéhé.

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