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Le détail (crève) coeur: Pour l’amour du béret

C’est l’automne. Les rues sont belles. Les feuilles tombent, les arbres se colorent et se dépouillent peu à peu. Pour se mettre dans l’ambiance, certains commencent à écouter ceci ou encore ceci. Pour les plus expérimentaux, c’est le temps de superposer mille et unes vestes, chandails, ou encore foulards.

C’est aussi le temps de sortir nos plus beaux bérets et de jouer aux matelots automnaux.

À la manière de personnages de films d’époque, on sort nos meilleurs atouts et on décore donc nos tignasses à l’aide de bérets. Le temps d’une saison… Ou deux.

D’origine française, le béret fait ami-ami avec les garde-robes depuis toujours. Il a traversé la Révolution Française, la Première, la Deuxième Guerre mondiale, le bug de l’an 2000; et il reste, malgré tout, d’actualité. Il s’agit de l’accessoire vintage par excellence. Un classique qui peut réellement faire toute la différence dans une tenue. Essayez d’imaginer un ensemble très banal (jeans, t-shirt, souliers neutres) mais qui, avec l’ajout d’un béret, devient porteur d’une touche unique. À mi-chemin entre le bonnet et la casquette, il contient le meilleur des deux mondes: il tient au chaud tout en gardant ce côté visuellement frappant.

Mine de rien, il sied autant à la mode plus ancienne qu’à la mode moderne.

De la nostalgique des sixties:


À l’amatrice de paquebots:

À l’experte de films en noir et blanc:

Pour finir avec l’étudiante zen:

 

 

Pour je-ne-sais quelle raison, les bérets ont toujours exercé une attraction inexplicable sur ma personne. Je n’ai jamais pu m’empêcher de les toucher, les porter, les acheter, les garder.

C’est le genre d’accessoire que l’on retrouve générations après générations. De l’arrière-grand-mère à la petite-fille, de la petite-fille à l’arrière-petite-fille. Chacun y passe.

Et puis, mine de rien, y compris ton chat.

Il connaît ses classiques.

Détail des montages: ICI

 

 

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