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Un troisième trou dans ton nez

En revisionnant le film Jeux d’enfants (avec Guillaume Canet, alias Ryan Gosling version française), je me suis rendue compte qu’il existait une liste de choses que je ne serai jamais « cap » de faire. La liste non-exhaustive :

  1. Sourire à Jean ou à Line;
  2. Ne pas danser sur du Philippe Katerine;
  3. Avoir un piercing du septum nasal.
Justement. LE PIERCING DU SEPTUM:

En véritable moumoune, il s’agit du genre de chose que je vais toujours trouver plus beau chez les autres.

Pour les non-initiés, le piercing du septum est appliqué sur la paroi séparant les deux narines. Il a beau ne pas être aussi populaire que le traditionnel piercing de la narine, il n’en demeure pas moins assez répandu.  Personnellement, j’ai beau avoir les deux oreilles percées, l’idée seule de l’aiguille me transperçant les narines m’envoie déjà dans un état oscillant entre sueurs froides et spasmes. Ce n’est définitivement pas pour tout le monde et il faut vraiment aimer la chose (!). Mais n’empêche, le résultat final en vaut pas mal souvent la peine (à de rares exceptions près, lolz).

Ce qui est encore plus fascinant, c’est la possibilité infinie de jouer avec les codes et les styles. Parce qu’inconsciemment, le piercing du septum est souvent associé à un style plus punk/trash/name it. Or, de l’avoir tout en ayant un style très féminin, classique, ou plus conventionnel, c’est comme la cerise sur le sundae. Ça brouille les cartes.

La fille qui avait la tête à Scarlett:

La fille et le sundae:

Sinon pour les plus extrêmes, il y a toujours moyen d’opter pour le penchant « vache/taureau ».

La chanteuse Grimes est définitivement next level.

 

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