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Les chaînes de cheville ou comment visiter l’Inde tout en faisant du surplace à Montréal

Une telle qui part pour la Malaisie; un autre qui passe l’été en Angleterre: c’est officiellement la période des «Bye bye gang, on s’en va en voyage, on se revoit en août, cheers!». Comme mon rêve secret c’est de visiter au moins une fois l’Asie du Sud (particulièrement l’Inde), et que cet été je suis broke, j’ai tout de même trouvé une alternative pas pire pantoute. Le pouvoir de l’imagination, j’te dis.

Si tu ne peux pas aller en Inde, l’Inde viendra jusqu’à toi.

Booya!

LES CHAÎNES DE CHEVILLE

Fou! Ok. Ce n’est pas le genre d’accessoire que je choisirai spontanément parce que well, entre mes pieds et moi, ce n’est pas la grosse histoire d’amour, mais quand même. La culture indienne m’a toujours pas mal fasciné de toute façon.

En Inde, la chaîne de cheville est bijou courant depuis des décennies. Même  qu’auparavant, il existait un sens caché derrière tout ça. Dépendemment de l’emplacement (cheville gauche ou droite), la femme pouvait être étiquetée comme étant «libertine» ; homosexuelle/hétérosexuelle ; mariée/célibataire ou pas. Well, de nos jours, ce n’est plus tellement le cas. Ça relève davantage du domaine de l’esthétique qu’autre chose.

Et puis, libertine, célibataire, bisexuelle ou pas, la chaîne de cheville a comme le pouvoir magique de féminiser n’importe quel pied tout dépendant des modèles!

C’est un peu l’accessoire type que la modernité a subtilement volé emprunté au monde traditionnel.

 

La hippie qui s’ignore:

 

La décontract’ en voyage:

 On est souvent down d’en porter même s’il y a toujours l’excuse du « ça ne m’irait pas ». Alors la chaîne de cheville? Oui? Non? Peut-être? Moi j’dis qu’en cas de doute, pensons toujours #YOLO (haha).

Détail des montages: ICI

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