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Des boobies qui sortent des chemises, oui, mais mautadit qu’ils sentent bons!

Avec Marie-Hélène qui a trouvé sa fragrance la semaine dernière et Vince Camuto qui a sorti la sienne, l’édito de novembre du Vogue Paris vous propose 6 marques coutureeeee (mot-français-qui-est-bien-plus-cool-à-prononcer-à-l’anglaise) pour compléter votre look.

Terry Richardson illustre 6 looks différents en intégrant des parfums en guise d’accessoire mode. Elles sont décrites de façon plutôt funny/quétaine (mais c’est de même le monde des parfums) par leurs créateurs ou des experts parfumeurs.

Je ne capote pas sur la couture, mais j’avoue que parfumement parlant (lolz), j’accroche souvent sur les plus chers les grands noms. En cette semaine de découverte olfactive, ouvrez grand vos narines, vous pourriez bien vous trouver une nouvelle odeur propre à votre style !

 Le pendentif COCO NOIR de Chanel

Un éclat d’agrumes, enveloppé par une volute de fleurs, d’encens et de patchouli : le clair-obscur d’une nuit à Venise, la ville fétiche de Gabrielle Chanel, entre dorures et velours sombres.

 

Le collier-minerve (lololol ce mot-là me fait penser au film « The Craft ») MANIFESTO d’Yves Saint-Laurent

Le caractère bien trempé d’un smoking maison dans une crème de jasmin avec un accord boisé profond et une note verte en overdose.

 

La ceinture IVOIRE de Balmain

(iiiiiiiiiiiiiiiiiiii, cette photo-là me fait virer su’l top! La jupe, les cheveux, la pose, les shoes…) 

Un accord de fleurs boosté par une note verte bien croquante, comme un bouquet aux tiges fraîchement coupées.

 

La jarretière (ouuuuuuh) de MADEMOISELLE RICCI de Nina Ricci

Une brassée romantique de roses et d’églantine : la mise en odeur d’un rendez-vous amoureux sur les toits de Paris.

 

Le sac bijou Dolce & Gabbana pour femmes

Une mandarine solaire érotisée par une touche de jasmin et de vanille : l’alchimie de la sensualité à la sicilienne.

 

La manchette MISS DIOR de Dior

De l’absolu de rose, de l’ambre et du patchouli dans un jus soyeux, très soir.

 

J’adore le côté glamour/trash, très Richardson, des clichés. Fidèle à son éternel fond blanc et à un minimum d’un boobie qui sort d’une chemise, il rend parfaitement justice à ces fragrances classiques mises en valeur par la fatigante magnifique Anja Rubik.

 

Si ça intéresse quelqu’un, vous pouvez voir le travail de Mr. Richardson ICI.

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