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Les nouvelles collections québécoises : Josiane Perron et la mode pour tout le monde (même les filles avec des formes).

Ce que j’aime le plus des collections de Josiane Perron, c’est qu’elle pense vraiment aux filles qui ont des corps de femme, avec ses coupes. C’est jamais trop « serré saucisse ». Je l’ai rencontrée il y a deux ans et demie, quand on avait parti le blogue (je travaillais au Marché Casse-Noisette à côté de son kiosque). J’ai découvert une personne vraiment gentille et drôle, je voulais devenir son amie, mais bon, life is what it is, je ne peux pas devenir amie avec tout le monde IRL.

 

Les 5 raisons pour lesquelles j’aime Josiane Perron (ça rime en plus) :

  1. Comme je l’ai dit dans l’intro, ses collections sont faites pour des gens normaux avec des courbes : des seins, des hanches et des fesses.
  2. Ses morceaux sont très simples et faciles à porter. 
  3. Le choix du tissu est toujours un succès, elle choisit ses matières avec un grand soin et ça paraît dans le confort.
  4. Elle joue avec des plis et des pinces sans alourdir les pièces et sans créer trop de volume. 
  5. C’est de la bonne qualité-prix et de la bonne confection.
     

Je ne sais pas si c’est le pattern ou le tissu un peu plus rigide qui me plaît le plus dans cette jupe, mais je pense que c’est un winner pour l’été.

L’été, je porte presque juste des robes. Celle-ci avec l’imprimé fleuri me fait un peu trop capoter! Me semble qu’elle irait bien dans ma collection.

Je prendrais cette robe en bleu marine. J’aime sa simplicité. En plus, si vous avez la chance de toucher au tissu, il est tellement doux. 

Ce n’est pas une erreur si je mets deux fois la même photo, c’est juste que tant qu’à faire, je prendrais aussi la camisole fleurie avec le jeu de bretelles! Je suis une fille de bretelles, que l’info soit ici gravée à jamais. 

Pour finir, cette robe n’est pas vraiment mon genre, mais je sais que c’est un bon morceau, car c’est la coupe parfaite pour accommoder plein de genres de silhouette (comme la courge). On ne dira pas que je ne pense qu’à moi, HA! 

 

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