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Kate Upton joue à l’infirmière cochonne avec des animaux en voie d’extinction.

Depuis le début du mois de janvier, j’occupe mon premier emploi à temps plein. Ma première vraie job de vraie vie de vraie adulte, blblblbl! Même si j’adore ce que je fais, je dois dire que la transition entre ma vie d’étudiante et ma nouvelle routine n’a pas été facile. Bye bye les nuits d’insouciance sans fin en plein milieu de semaine!

S’il y a une chose dont je ne m’ennuie ABSOLUMENT pas, par contre, ce sont les fins de session. Juste l’idée de crouler sous les travaux après trois mois de procrastination me donne un petit vomi, lol.

Toutefois, mon petit chum, lui, termine son baccalauréat dans moins de deux semaines, wouhou! Il est donc pas mal stressé et fatigué, alors pour l’encourager dans ce sprint final (pire expression), j’ai décidé de présenter le dernier édito de sa préf’.

Voici donc Kate Upton qui pose avec des bébés animaux en voie d’extinction dans le dernier Harper’s Bazaar. C’est Carine Roitfeld qui signe la direction artistique de ce bien bel édito nommé The Animal Nursery, ou l’infirmerie des animaux. Bin oui, original de même. 

 

 

Les critiques de l'édito sont assez mitigées sur plusieurs points.

Premièrement, je suis trèèèès d’accord pour dire que des animaux en voie d’extinction ne sont pas des accessoires de mode, mais en même temps, faut pas capoter. D’accord, on n'est pas au courant de la façon dont ces animaux sont traités hors de la caméra, mais pour ce qui est des photos, elles représentent quand même une certaine protection ou un amour maternel

Deuxièmement, ça me fait capoter qu’à chaque fois qu’un édito high fashion met en vedette Kate Upton, on crie au scandale et on dénigre son physique trop commercial. Come on, moi ça me fait du bien de voir dans une magazine une fille qui a pas l’air de pouvoir casser en deux, une fois de temps en temps (oui, c'est à toi que je parle Karlie Kloss). Et ce, même si la belle Kate n’a pas un physique des plus « madame tout l'monde » (deuxième pire expression) non plus. Le point avec lequel je suis d’accord cependant, c’est qu’un édito comme celui-ci raconte une histoire, et qu’une mannequin moins brandée et plus anonyme remplirait peut-être mieux le mandat.

Malgré tous ces grands débats d’une importance capitale concernant la mise en scène (lol), n’oublions pas le but principal d’un édito : vendre de la guenille. Pis ici, la guenille est pas du tout mise en valeur, pis c’est PAS beau (ahem, pas dans mes cordes, disons).

 

Et vous, vous en pensez quoi des amis animaux de Kate?

 

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