Quand gérer sa vie sociale rime avec angoisse.

Vous est-il déjà arrivé d'angoisser en réalisant que vous aviez des plans chaque fin de semaine? De devoir tenir un agenda pour gérer votre vie sociale? D'avoir envie de rester à la maison alors qu'on vous propose plein de sorties?

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Quand j'ai commencé ma maîtrise, j'ai été forcée de couper dans ma vie sociale. Au début, j'ai trouvé ça difficile. Je sentais que j'allais manquer quelque chose en restant chez moi. J'avais aussi peur que mes amis me trouvent poche. Mais avec le temps, j'ai pris goût à ma vie beige. Si bien que lorsque j'ai enfin terminé mes études, j'ai décidé de ne plus faire l'erreur de remplir mon calendrier de vie sociale comme avant.

Maintenant, je n'ai plus l'excuse « je dois étudier ». En fait, je n'ai pas d'excuses et c'est parfait comme ça. J'ai appris à être honnête et sincère envers moi-même et envers les autres. S'inventer des raisons, ça fait son temps. Si ça ne me tente pas, je n'y vais pas. Si j'en ai envie, j'y vais. C'est simple, non?

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Je me suis rendu compte que je devais me garder du temps pour moi. Que j'avais le droit de ne pas toujours avoir envie de sortir. Qu'il n'y avait rien de mal à ne pas vouloir booker un souper trois semaines d'avance. Et surtout, que ça ne voulait pas dire que je devenais une mauvaise personne ou que je n'aimais pas mes amis. Des fois, je feel bof et j'ai juste envie d'écouter des séries sur Netflix en mangeant un biscuit dans une tasse de Trois fois par jour. Même si c'est vendredi. #SorryNotSorry

À l'école et au travail, on rush, on planifie, on met plein de trucs à l'agenda. On ne doit pas faire l'erreur de gérer notre vie sociale de la même façon. Voir ses amis ne doit pas devenir une corvée ou un exercice de gestion. La spontanéité, ça vous dit? On peut tu voir au jour le jour si ça nous tente de faire de quoi?

Essayez, vous verrez. Alléger son calendrier de vie sociale, c'est tellement libérateur!