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En finir avec l’acné : récit d’un suivi dermatologique – Partie 4
Crédit: tonpetitlook/Instagram

Première, deuxième et troisième parties.

La veille de mon troisième traitement, le jour où nous fêtions mon fils et que la maison était pleine d’invités… BAM! Les allergies se sont pointé le bout du nez (quel jeu de mots poche!). J’éternuais aux deux minutes et, en moins de deux heures, mon nez était déjà complètement irrité à force de me moucher. Pas besoin de vous dire que je redoutais mon traitement du lendemain. Forte de mes deux premières expériences, je savais que les ailes de mon nez étaient toujours la région de mon visage qui me causait le plus d’inconfort suite aux traitements. La seule pensée d’un mouchoir s’acharnant sur mon nez post-traitement me faisait monter les larmes aux yeux. Rappelons-nous la sensation de carpet burn!

Le lundi matin, en arrivant à la clinique, je me suis empressée d’aviser la technicienne qui s’occupait de mon traitement ce jour-là. 

« SVP, pas mon nez! Épargnez-moi! »
Bon, j’exagère un peu, mais je lui ai mentionné que mes allergies saisonnières étaient de retour en force et que je lui serais (éternellement) reconnaissante de ne pas me badigeonner le nez du médicament actif. Ce qu’elle fît, à mon grand bonheur. Comme mon nez n’est vraiment pas la partie de mon visage où je fais le plus d’acné, je me sentais un peu moins coupable d’omettre cette région. Et vous savez quoi? Ce troisième traitement fut le plus chill d’entre tous. La sensation de brûlure était plutôt faible (lire que je n’ai pas ressenti le besoin vital de me mettre le visage dans le congélateur tellement ça chauffait!), les rougeurs n’ont pas été trop intenses et, comme au second traitement, la poussée d’acné est venue et partie relativement vite.

Comme je n’ai pas d’histoires rocambolesques ou d’anecdotes palpitantes à raconter suite à ce traitement, j’ai pensé en profiter pour piler sur le peu d’orgueil qui me reste (rappelons-nous que je suis la fille qui partage sa face emballée dans le saran wrap sur Internet) et vous partager les photos que la clinique m’a fait parvenir. BRACE YOURSELVES!

Crédit : Clinique Peau

Je vous ai précédemment expliqué qu’au premier rendez-vous, afin de faire un bilan ainsi que monter mon dossier et mon plan de traitement, des photos de mon visage avaient été prises avec une caméra HD. Le programme utilisé s’appelle Visia. C'est un « système d’analyse de la peau (…) qui utilise des technologies d’imagerie médicale spécialisées ». En gros, il nous permet de voir en détails pas mal tout ce que nous préférions ne pas voir sur notre visage. Ha!

Les dommages causés par le soleil et la pollution ambiante sont assez impressionnants à voir. Tout ce qu’on ne voit pas à l’œil nu mis en évidence de la sorte, ça surprend. Ayant été sous traitement dermatologique pendant des années, j’ai toujours dû utiliser de bonnes protections solaires (car plusieurs traitements rendent la peau photosensible). Je n’ose même pas imaginer de quoi mon visage aurait pu avoir l’air sur ces images si j’avais négligé l’utilisation de filtre UV. D’où l’importance de bien protéger sa peau et, ce, pas seulement en plein été.

Il me reste maintenant une séance de Metvix à la fin septembre, avant mon rendez-vous de suivi avec Dr. Khanna. Si les résultats sont satisfaisants, nous pourrons ensuite passer au traitement suivant, soit le Laser Genesis. À suivre!

Prenez-vous toujours bien soin de protéger votre peau des rayons UV?

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