Aller au contenu
Passer d’un French press à la plus awesome des machines à espresso, c’est le fun!
Crédit: Josiane Stratis

J’ai bu mon premier café au secondaire. Disons qu’entre toutes les boissons sucrées et fruitées offertes à la cafétéria, la madame du midi me trouvait vraiment weird de prendre du café à la pause du matin parce que je détestais me lever trop tôt. Puis, j’ai eu toutes les machines imaginables depuis que je suis en appartement (ça fait plus de 12 ans). 

Récemment, j’avais une machine à espresso qui n’allait pas super bien. Par paresse, je l’avoue, je ne l’ai pas fait réparer, mais c’est aussi parce que je l’aimais moyen. Faut dire que j’ai déjà été barista dans un restaurant, donc mon café, je l’aime avec une bonne crema et une force d’infusion qui est quand même intense. Et comme mon bureau a longtemps été à deux pas du Névé, je sentais toujours que mon café maison n'était pas si nice

J’utilisais donc un French press parce que ça allait vite et que je pouvais faire un bon amont de café pour le matin chaotique, et réfrigérer le reste pour les matins encore plus chaotiques. Bref, c’était correct, mais après avoir visité l’Italie, faut dire qu’il me manquait le vrai bon goût d’un espresso court en fin de journée ou pour la commencer. 

Quand j’ai eu l’occasion de recevoir une machine à espresso Lelit, disons que ça n'a pas pris deux secondes que je sautais sur mon clavier pour dire oui. Ça faisait tellement longtemps que je les regardais. T’sais, je magasinais plus les cafetières que tout autre machine. Je me suis rendue chez Edika (10118, boul. Saint-Laurent à Montréal) pour une formation et je n’ai pas été déçue de la suivre. Je croyais connaître l’art de faire un bon café, mais non, j'en avais encore tellement à apprendre. 

Lors de la formation, j’ai appris plusieurs de mes erreurs courantes avec mon ancienne machine. Un, je n’avais pas de grinder à café. Grosse, grosse erreur. Puis, je n’avais pas de poussoir assez fort pour bien taper mon café. Ensuite, souvent, je ne laissais pas assez réchauffer la machine. 

Bref, maintenant que j’ai THE ONE et qu’elle m’indique un paquet de choses sans que je lui demande (comme la température de l’eau, que je peux aussi régler moi-même), s’il manque d’eau (à la place de faire un bruit étrange comme ma dernière) ou la pression lors de l’infusion (si je n’ai pas mis assez de café). Il y a aussi des petits plus vraiment cool, comme le fait que si je dépose le manche avec l’espresso dedans sur le comptoir, il tient tout seul, ou bien que la buse se nettoie vraiment bien sans devoir la rincer. JE CAPOTE. 

Je comprends surtout maintenant c’est quoi la différence entre de la qualité et quelque chose d’entrée de gamme, et comme je consomme pas mal de café, ça me fait vraiment plaisir d’avoir une Lelit (et de me penser fraîche sur Instagram, hahaha). 

Est-ce que vous avez la machine à café de vos rêves? 

Plus de contenu