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À moitié extravertie, à moitié introvertie : je suis « ambivertie » et c’est compliqué
Crédit: Javier Allegue Barros/Unsplash

Voici une liste de faits dans lesquels vous vous reconnaîtrez peut-être si vous vous considérez à moitié extraverti.e, à moitié introverti.e : cette condition (voyons, ça sonne grave) que l’on surnomme l’ambivertion.

Liste de pourquoi je suis une ambivertie : 

La simple mention d’un travail d’équipe me donne la chair de poule. À la fin du projet? Ces gens sont mes meilleurs amis (je connais le nom de leur mère, leur signe astrologique). Mais si ceux-ci s'attachent…  

Crédit : GIPHY 

Dans des partys de famille, je me sens comme la reine du small-talk, je vais combler tous les temps morts de blagues, d’anecdotes, etc. Ce qui me donne autant le goût de me cacher sous la pile de manteaux sur le lit d’invités.


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Je suis incapable de faire un exposé oral sans bégayer, chercher mes mots et stresser en maudit, mais inquiétez-vous pas, je vais monopoliser l’attention pendant le brunch! Après le brunch, ne me cherchez pas, j’irai m’isoler dans une pièce sombre.
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Certaines personnes peuvent s’attendre à ce que j’anime la soirée comme Jimmy Fallon. Mettez-moi de la pression et je me transformerai en festival de self-doubts et de jokes déplacées.
Ah pis entourée de personnes extraverties (qui crient, dansent, chantent)? Je deviens silencieuse et awkward. Avec mes ami.e.s introverti.e.s ? Je parle pour dix. 

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J’adore parler avec mes collègues sur l’heure du dîner… Pendant 15 minutes. Le reste de ma pause, je veux la passer à lire, écrire. Sinon je me sens dead inside. Merci.


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Je ne suis pas bavarde. JOKE, JE PARLE TOUT LE TEMPS. Mais pouvez-vous répéter ce que vous avez dit s’il vous plait? J’étais en train de planifier mes vacances dans ma tête pendant que vous me racontiez votre problème de tuyaux bouchés. J'aime tellement ça, chiller toute seule dans ma tête, mais c'est pas le best pour mon.ma interlocuteur.trice. 


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J’aime ça, jaser avec des gens, des client.e.s, des inconnu.e.s… Quand j’ai la certitude que dans une heure, la conversation sera terminée et j’aurai la sainte paix (mon hygiéniste dentaire fait une très bonne amie).


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Je suis quand même méfiante envers les gens qui ont une bad vibe, mais j'ai, d'un autre côté, aucun problème à raconter ma vie à des étranger.ère.s. Et ce, au moins une fois par semaine.  

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Je peux passer dix jours d'affilée à voir des ami.e.s, à écrire dans mes cahiers VIVE L’AMITIÉ, et passer les dix prochains jours seule, à raconter à mon chien que je n’ai pas besoin de personne. #C’estFaux, j’ai besoin d’équilibre ça a l’air.  


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Me faire proposer un voyage en gang? Synonyme de joie, de rires et de suffocation. Je suis du genre à préciser : « Ça va tu te déranger que je prenne des après-midis off? »


Crédit : GIPHY

Je trouve ça important de faire de l'autopromotion dans ce monde où les médias sociaux règnent. Si on ne croit pas en nous, qui va le faire? Mais quand je post une selfie pourtant, je me vomis un peu dans la bouche tellement je ne suis pas à l'aise. Mais c'est une douleur le fun.


Crédit : GIPHY 

Bref, c’est bien compliqué mon affaire. J’ai de la misère à dire non aux autres, j’ai envie de répondre à toutes les attentes du monde et c’est pas possible, malheureusement.

Est-ce que vous vous reconnaissez dans l’ambiverti.e? Avez-vous d'autres exemples malaisants? 

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