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La fausse bonne idée du siècle, ou comment porter le body pourrait gâcher mon festival (ha!)

Le début du mois d’août rime toujours avec « Yay, c’est Osheaga! Du fun, de la musique et du monde qui transpire, wouhou! ». Même si j’ai vraiment hâte d’aller voir Garbage les ressucités, A$AP Rocky le chillax et Snoop Dogg Lion le meilleur ami des animaux, j’anticipe déjà mon malaise vestimentaire.

En fouillant dans ma garde-robe à la recherche du parfait vêtement du bon festivalier, je suis tombée sur une pièce que je porte rarement mais que je trouve ô combien pratique.

LE BODY

Ou la fausse bonne idée.

Pendant deux secondes, j’ai eu l’illumination du siècle : « iiiii, mais voyons c’est parfait, hyper-confortable, simple, voici LA pièce parfaite que j’enfilerai »… Wrong! Mon cerveau a fait un triple salto!

Dans n’importe quel festival, c’est toujours la même histoire qui se répète. On boit, on danse, on a du fun, on boit, on danse, on a du fun, on boit on boit on boit et puis PAF! Il faut se vider la vessie. Je ne sais pas pour vous, mais dans ces moments, porter un body (même si c’est le plus beau de la terre), c’est un peu fail. Tu passes 10 minutes à l’enlever puis le renfiler et tu viens déjà de manquer le 1/3 d’un set. Malheur!

Un peu comme avec les one-piece


Même si c’est très très très tentant, pour ma part, je pense que je m’abstiendrai cette fois-ci (vous comprendrez donc je parle en fonction de mes erreurs passées…).

 

Les filles qui avaient de beaux body mais qui n’étaient pas très à l’aise dans leurs vêtements de festivalières :

 

Je vais davantage miser sur ma petite robe trop estivale et bouncer sur du classique, je crois. Un bon deal.

NDLR: on avait déjà mis les body American Apparel dans ce billet là 😉

Détail du montage: ICI

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